Ici, sur la Côte d'Azur, seuls les sujets gardés au sec prospèrent de façon durable en extérieur.
Les gelées -même légères- ont souvent raison des spécimens exposés aux intempéries.
A noter que le magnifique P. superbum est légèrement plus résistant au froid que P. bifurcatum et s'accomode parfaitement de longues périodes de sécheresse.