Maryka a écrit :
Bonsoir
De quand me vient cette passion, de l'instant ou j'ai vu le jour au beau milieu d'une rose....
De mon enfance je garde comme souvenirs les balades dans la nature avec mes parents chaque week-end, la découverte des fleurs, les arbres, les champignons, les oiseaux, j'écoutais le bruit de l'eau, le vent dans les feuillages, j'adorais courir dans les jardins, la nature a bercé mon enfance d'aussi loin que je me souvienne et c'est toujours auprès d'elle que je me réfugiais quand
j'avais de la peine.....
Je peux dire sans hésitation que ma passion est devenue une "drogue", c'est un besoin pour moi, de planter, tailler, bouturer, semer, regarder, photographier...je ne peux vivre sans cette passion
Je m'émerveille comme un enfant de tout ce que la nature nous offre, cette nature sans qui nous ne serions pas là....
que de belles histoires !
j'ai attendu pour raconter le mienne, mais je vosi que nous avons bien tous des points communs.
Maryka raconte ausis la mienne.
Plus haut, je ne sais qui a écrit " Paris", "appartement", "10 ans", même parcours, 10 ans à Paris, 1er appartment en ville, mes plantes d'intérieur ramenées de Valence, deuxième appartement avec un balcon, j'avias tout juste la place d'y mettre une chaise longue pour lire le soir l'été au milieu des mes plantes et le salon , la jungle.
à 36 ans de retour dans la Drôme, je m'étais jurée qu'en quittant Paris je revenais directement à la campagne et là je me suis éclatée.
mais le déclic fut en 1993 en visitant le jardin de Nicole Arboireau , le jardin de la Pomem d'ambre à Fréjus. tout m'a plu chez elel, sa philisopie, son jardin et ensuite pendant des années je suis allée aux réunions mensuelles de son association qui étaient le 1er mercredi de chaque mois à l'époque.
quand j'y pense, il fallait être fada et droguée ! ( et jeune)
je partais avac ma petite 205 après mon travail, 300 kms, je couchais chez mes parents, le mercredi après midi j'allais à la réunion/cours, j'apprenais, j'étais avide, tout était nouveau pour moi; je revenais avec plein de plantes à bouturer, entre temps j'étais passée par une jardinerie ou pépinière car jusqu'en 1996 il n'y avait rien dans la Drôme.
je mangeais avec mes parents et je rentrais, j'arrivais vers minuit/ une heure du matin chez moi, tous les morceaux à bouturer dans l'eau en attendant le week end pour m'en occuper, le lendemain au boulot et toutes ces journées prises sur mes congés !
je visitais aussi des jardins avec eux, uen journée de plsu prise sur mes congés chaque mois.
cela aduré jusqu'en 2002 où j'ai crée le même genre d'association dans la Drôme pour se retrouver entre passionnés.
ausis, comem Ryan je fais le tour du jardin tous les matins.
Mais je dois aussi dire merci à mon mari qui n'a jamais rouspété, qui a toujours respecté cette passion et qui m'aide beaucoup au jardin. On se sent plus serein quand sa moitié ne grogne pas dans votre dos.
surtout comme parfois où la passion prend le dessus sur le travail de la maison.
là dessus aucune dame n'a osé l'avouer ! Quelquefois on est mieux dans son jardin, cela me coute de rentrer comem maintenant pour préparer le repas ou donner un petit coup pour que cela soit propre dedans.
On pourrait en raconter sur cette passion, sur les rencontres que cela a occasionnés, .
J'ai quelques amies "plantes" connues au sein de l'assocaition.
certains Gb rencotnrés dans les foires aux plantes me voient toujours avec Yasmine et Francoise.
Voilà vous savez tout